Qui suis-je ?

Psychologue sociale du travail et des organisations, j’ai effectué une licence de psychologie à l’Université de Caen et un master de psychologie sociale des risques et sécurité à l’Université d’Angers.

Spécialisée dans la prévention des risques, j’ai développé une certaine expérience au sein des entreprises, notamment dans l’évaluation et la gestion des risques psychosociaux et des risques routiers.

De même, je propose des interventions de sensibilisation liées aux risques précédemment évoqués, mais aussi concernant d’autres sujets, souvent oubliés : les discriminations, le sommeil, la mémoire, les identités de genre, etc.

La psychologie sociale : qu’est-ce que c’est ?

La psychologie sociale est une des nombreuses branches de la psychologie. Elle se caractérise par l’étude de l’être humain dans un contexte spécifique. Plus exactement, selon Allport en 1954 et plus tard Vallerand en 1994, ce sont ses pensées, croyances, sentiments, comportements, qui sont mis en perspective avec l’environnement de l’individu, mais aussi les autres personnes qui l’entourent (que leur présence soit explicite, implicite ou encore imaginaire).

Grâce à cette définition, il est aisé de voir l’intérêt que peut présenter cette branche de la psychologie dans le domaine de la prévention. En effet, l’humain est en perpétuelle interaction avec son environnement et ce sont ces interactions qui peuvent autant augmenter que diminuer les risques. Par ailleurs, de nombreuses théories du risque se basent sur la psychologie sociale.

Ma vision de la
prévention

L’INRS définit la prévention des risques professionnels comme « l’ensemble des dispositions à mettre en œuvre pour préserver la santé et la sécurité des salariés, améliorer les conditions de travail et tendre au bien-être au travail ». Outre les obligations réglementaires définies par le Code du Travail, il est important de garantir à ses collaborateurs un cadre de travail soumis au moins de risques possibles.

Ma vision de la prévention passe bien évidement par le prisme de la psychologie sociale. La démarche que j’adopte vise ainsi à mettre l’humain au cœur de la prévention. Effectivement, le comportement d’un individu est impacté par ses croyances, sentiments, connaissances, mais aussi ses pairs. Comprendre et mettre en évidence ces différentes dimensions est donc nécessaire à une prévention efficace.

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